Ta japonaise en short
Aussi bien, en été qu’en hiver, la japonaise aime montrer ses jambes. Je ne m’en plains pas, j’adore ça.
Même s’il est vrai que beaucoup de japonaises ont les jambes arquées ou trop petites, c’est quand même bien plus agréable à regarder, que l’éternel jeans que portent généralement quotidiennement les françaises.
La question que je me pose depuis des années, c’est : comment font-elles pour ne pas avoir froid ?
Pas de saison pour les shorts, qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il neige, il y en aura toujours qui montreront leurs jambes.
Oui, bien sûr, beaucoup portent des collants ou autres bas, mais cela protège du froid certes, mais ne justifie pas ce courage qui est de porter des shorts au cœur des saisons fraîches.
On parle aussi, de ses pansements chauffants remplis de produits chimiques et que l’on colle sur la peau, ce qui vous réchauffe la peau pendant un certains temps. C’est efficace, certes, mais éphémère.
Je ne suis pas convaincu.
Provocation alors ? La femme japonaise aime se faire allumer ?!
Non plus, à part les petits vieux, les jeunes ne sont pas trop porté sur la chose, du moins, pas directement…
Mais alors pourquoi ?!
Selon moi, c’est juste pour se sentir bien, voir, se faire complimenter par ses copines. Et, j’aime ce principe de liberté vestimentaire, elles sont pourtant, durant toutes leurs vies, obligé de suivre un code de vie très stricte. Ce relâchement permis uniquement durant les temps libres, ne peut faire que plaisir à voir.
Cela n’explique pas comment elles ne peuvent pas trembler de froid ?!
Je pense que pour répondre à cette question, il faut se tourner vers l’éducation et regarder les enfants. En effet, dès le primaire, les garçons comme les filles passent leurs longueurs de journée en mini short pour les écoliers et en jupette pour les écolières. Ces uniformes étant obligatoires, ils se rallongent au fil de l’âge arrivant à l’éternel costard que porte le salaryman mais aussi la office lady nippone (même en plein été).
Ce détail du règlement élaboré depuis des générations par l’éducation nationale, fait étrangement penser à la doctrine nazi : «un corps sain dans un esprit sain !».